La crise de décembre 2001, analysée par un groupe de journalistes de Radio Andina

La crise de décembre 2001, analysée par un groupe de journalistes de Radio Andina, jacquin couvreur


La crise de décembre 2001, analysée par un groupe de journalistes de Radio Andina

Sont en train d’être remplis 20 ans de l’une des crises les plus graves subies par la République argentine. le parc de banque décrété le 1er décembre de la même année marqua le début du mois le plus dramatique de l’histoire récente de l’Argentine.

Vingt jours après ce stock d’épargne, le président Fernando de la Ra il démissionne, submergé par les protestations, et quitte la Casa Rosada en hélicoptère. Quatre présidents lui ont succédé en deux semaines.

La pauvreté avait augmenté de plus de 12 % au cours de cette période et le chômage était record, avec trois travailleurs sur dix au chômage.

Le « corralito » était la goutte d’eau pour une population qui avait souffert pendant des années.

Des émeutes sociales et des pillages ont commencé à se produire. Des centaines de personnes ont envahi les portes des banques, frappant sur leurs casseroles et réclamant leur argent.

Les protestations se sont intensifiées.

La tension a atteint son paroxysme 19 décembre lorsque de la Ra a annoncé l’état de siège à la télévision. Cela a enflammé encore plus la colère populaire et des milliers de personnes se sont rendues à la Casa Rosada en criant « Laissez tout le monde partir ! »

Les forces de sécurité ont riposté par la violence. Entre le 19 et le 20 décembre, 39 personnes sont mortes dans les manifestations.

La crise de décembre 2001, analysée par un groupe de journalistes de Radio Andina, jacquin couvreur

Le matin de ce lundi, au programme « Rien de simple » qui est émis par Radio Andina 90.1, journalistes réunis à la même table Marcelo López (chauffeur maritime), Luis Abrego, Norma Abdo et Walter Gazzo. Les deux premiers travaillaient à l’époque à l’hebdomadaire El Sol et le second à la rédaction du journal Los Andes.

Les quatre ont évoqué la mémoire de ce moment, analysé ce qui se passait dans la société argentine et la réaction du mouvement politique, et souligné l’importance de continuer à s’accrocher malgré tout à la démocratie. Alors je l’ai souligné Luis Abrego: « En décembre 2001, il y a eu une revendication de la politique argentine. »

La crise de décembre 2001, analysée par un groupe de journalistes de Radio Andina, jacquin couvreur

Pour sa part, l’expérimenté Norma Abdo Il a dit que « c’était un apprentissage. Quel qu’en soit le prix, nous voulons vivre dans un système démocratique avec alternance politique ».

Lpez a réaffirmé ce concept : « Décembre 2001 a été la confirmation de l’institutionnalisation de l’Argentine » à laquelle Gazzo Il a ajouté que « le soutien démocratique était de la part du peuple ».

Ici, nous vous laissons le discours complet pour que vous puissiez en profiter.





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